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Priscilla Lopes: découvrez le nouveau visage de Plus belle la vie

Priscilla Lopes: découvrez le nouveau visage de Plus belle la vie
Alexandre LETREN

Il y a quelques mois, poursuivant nos rencontres avec les nouveaux talents, mon chemin croisa celui d’une jeune comédienne que l’on a aperçu dans la nouvelle saison de Fais ci fais pas ça, et que j’ai eu le plaisir de recevoir dans mon émission radio. Quelques 6 mois plus tard, Priscilla Lopes devient l’un des nouveaux visages de Plus belle la vie, la série à succès de France 3 qui approche de ses 10 ans, dans le rôle de Audrey.
Une occasion parfaite pour vous faire connaître celle que vous allez sans aucun doute aimer dans le quartier du Mistral. Cette jeune artiste, vrai coup de cœur de ces derniers mois, saura vous séduire.

Priscilla démarre le mardi 24 juin dans Plus belle la vie pour jouer le rôle d’une nouvelle esthéticienne, Audrey Langelet: « Elle arrive aux Belles du Mistral car Élie veut rendre le salon plus luxueux pour se faire de l’argent… Elle a l’habitude de travailler dans des salon de luxe, elle est en free-lance… Pour elle, être esthéticienne, c’est être élégante et raffinée. Et du coup elle ne m’entend pas du tout avec Wendy qu’elle trouve vulgaire…c’est donc la guerre entre elles… »

Season One: Comment as-tu débuté dans ce métier?

Priscilla Lopes: J’ai démarré il y a un moment déjà. J’ai commencé il y a un peu plus de 10 ans mais ça fait 3-4 ans seulement que je me suis vraiment investie dans ce métier. Entre les deux, j’ai eu « une autre vie » qui m’a tenue un peu éloignée de ce métier. Pendant très longtemps, je ne savais pas forcément ce que je voulais et j’ai laissé passer plein d’opportunités, sans doute parce que je n’étais pas prête pour ça. Mais depuis 3 ans, j’ai enfin la sensation de savoir ce que je veux. Je veux vraiment le faire parce que je sais que sinon, je vais le regretter. Et comme on me dit souvent que je fais plus jeune que mon âge, je compte bien profiter de cet atout.

Season One: Aujourd’hui, tu es comédienne, modèle, tu chantes également. C’était déjà le cas à tes débuts ou c’est arrivé après?

P.L: Si j’ai toujours touché à tout, ce n’est vraiment que dernièrement que je me suis lancée à fond dans tous ces domaines, auxquels j’ajouterai la réalisation . Beaucoup de choses ont changé, je me sens aujourd’hui bien mieux dans ma peau, j’ai beaucoup plus confiance en moi, je suis sans doute plus mature aussi pour aborder tous ces métiers et les choix que j’ai à faire. Pour preuve, dans le passé, j’ai rencontré des personnes qui m’ont dit que j’avais du potentiel et à l’époque, je n’ai pas su saisir ces opportunités quand elles se sont présentées. Entre temps, il y a eu un petit déclic. J’ai vécu deux ans en Espagne, où j’ai tout laissé tomber pour faire autre chose et je me suis rendue compte que ça me manquait vraiment et qu’il fallait que je me remette dans le bain. Je suis rentrée à Paris et je suis totalement repartie à 0.

Season One: C’est difficile de retrouver des projets quand on laissé de côté ce milieu pendant un moment?

P.L: Au début, ça a été dur, j’ai pas mal galéré. Et là, depuis quelques temps, à force de rencontres, je sens qu’il y a quelque chose qui se passe. Mais ce fut long de réenclencher la machine.

Season One: Tes préférences vont vers quel support? Télé? Théâtre? Cinéma?

P.L: Spontanément, je te dirais le cinéma, même si j’adore le théâtre. Je reconnais aussi que travailler sur une série de manière régulière permet de se faire connaître et d’apprendre son métier d’une manière incroyable. En fait, même si j’adore le théâtre pour son contact immédiat avec le public, j’ai toujours eu une passion pour l’image, c’est la raison pour laquelle je fais de la photo et que je me suis tournée vers la réalisation depuis un an. J’ai d’ailleurs réalisé un court métrage pour Nikon Film Festival, « Je suis l’oubli nécessaire« . Ce qui est dommage, c’est qu’on ne laisse pas assez leur chance aux jeunes comédiens. Il faudrait qu’on leur fasse plus confiance. Les comédiens que l’on voit à la télé aujourd’hui sont tous très bons mais on a du mal à voir de nouvelles têtes.
Mais aujourd’hui, je suis prête et je ne veux plus faire comme dans le passé où j’attendais un peu que les choses viennent. Aujourd’hui, je suis bien décidée à forcer le destin. Il faut aussi reconnaître qu’aujourd’hui, les choses sont plus faciles pour se faire connaitre et montrer son travail grâce au web et aux réseaux sociaux. Mais je ne cherche pas la célébrité à tout prix, ni le buzz, je cherche seulement à m’épanouir dans ce métier que j’adore.

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Season One: Quand on est jeune artiste, on peut se permettre de refuser des choses qui ne nous plaisent pas?

P.L: C’est très difficile à mon niveau de refuser des choses puisque je débute, même si ça m’est déjà arrivé de le faire car l’image que ça pouvait donner n’était pas celle que je voulais. En vieillissant, j’ai envie de me concentrer sur ce qui me plaît, ce que j’aime faire. La musique fait aussi partie des choses que j’aime, j’ai un projet en ce sens avec mon frère, une chanson que j’ai écrite, que je chante et dont le clip a été réalisé par Sarah-Laure Estragnat.

Priscilla est aussi dans ce superbe court métrage signé Eloïse Lauret et Fabien Carrabin intitulé « Des espoirs« 

Louise est jeune étudiante et tombe enceinte de Nael. Ils s’aiment d’un amour inconditionnel mais Nael ne veut pas de l’enfant, et elle même ne s’attendait pas à tomber enceinte. Quelle décision prendre? La vie va faire le choix pour elle. Elle va perdre l’enfant et découvrir 4 ans plus tard qu’elle est devenue stérile. Comment faire face à ce coup du sort? Comment continuer à s’aimer malgré tout? Jusqu’au jour où…

Eloïse Lauret nous parle de ce court métrage: « On sait qu’aujourd’hui, il y a de plus en plus de personnes qui ont du mal à avoir un enfant, des couples qui se créent tard et donc des désirs d’enfant qui arrive plus tard. On peut aussi avoir des désillusions après avoir eu un enfant parce qu’on n’est pas toujours bien préparé à ce qui nous attend vraiment quand on devient parent.

Dans le film, on parle de la stérilité qui peut survenir après un avortement, un sujet très peu abordé. On parle aussi du désir d’avoir un enfant et la douleur quand cet enfant ne vient pas. On a tenu à parler de façon positive de tous ces sujets qui peuvent être très durs à vivre.
Cette histoire est inspirée de ma propre histoire (je joue dans ce film aussi) et Priscilla joue le rôle de ma sœur qui voit que je me fais du mal à faire test de grossesse sur test de grossesse alors que je ne ne tombe pas enceinte et qui sera là à la fin quand je réussirai enfin à l’être. Dans ma vraie vie, c’était ma mère qui avait ce rôle là. »

Découvrez le site de Priscilla Lopes ici

Première apparition dans Plus belle la vie le mardi 24 juin

Crédit bannière: Alexandre Le Toux
Crédit Photo Corps Article: Adrien Durand

Retrouvez notre dossier sur Plus belle la vie ici